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LES CHEVILLES (entorse, fracture, foulure...)

Photo du rédacteur: Caroline MUSEREAUCaroline MUSEREAU

Décodage issu du "Grand Dictionnaire des Malaises et des Maladies" de Jacques MARTEL.




La cheville est une partie du corps très flexible et mobile.

Elle sert à soutenir le corps et, par sa position physique, elle subit de grandes pressions.

C’est une sorte de pont, de lien entre moi et la terre.


C’est grâce à elle que je suis « groundé » au sol, que l’énergie spirituelle voyage du haut vers le bas et vice versa, si je suis en contact avec la terre mère.

C’est également l’endroit où j’exprime ma capacité d’avancer, de me lever et de rester debout, stable et ancré.


La cheville exécute les changements de direction et par conséquent, elle représente mes décisions et mes engagements qui se prennent en tenant compte de mes croyances et de mes valeurs.

Mes chevilles me montrent comment je suis capable de m’appuyer sur moi-même, mes

ressources intérieures ou au contraire, si j’ai tendance à m’appuyer ou même m’accrocher aux autres.


Toute blessure ou douleur aux chevilles est reliée à ma capacité de demeurer flexible, tout en changeant de direction.

Je ne sais pas « sur quel pied danser » ! Dois-je rester ou partir ?

Je suis déstabilisé, ayant l’impression que « je n’arrive pas à la cheville » de certaines personnes que j’admire, par exemple mes parents.

J’ai de la difficulté à me détacher d’eux, particulièrement ma mère.


Si j’ai peur de ce qui s’en vient, si je suis inflexible par rapport à une décision à prendre, si je vais trop vite sans réfléchir, si j’ai peur de mes responsabilités présentes ou futures, si j’ai l’impression d’être instable, je risque de freiner l’énergie dans mes chevilles.

Je peux me sentir coupable de prendre une certaine direction ou me sentir obligé. Comme la chenille, j’ai peur de sortir de mon cocon.

Selon l’intensité du blocage d’énergie et de ma fermeture au courant de vie, il peut en résulter une foulure, une entorse ou une fracture.

Je ne peux pas me tenir debout sans mes chevilles. J’ai peut-être à « m’appuyer » sur de nouvelles façons de voir les choses, de nouveaux « critères » qui sont plus ouverts et flexibles. Elles prennent soin de moi et de mon être intérieur, elles me supportent dans la vie.


Si une cheville cède ou se brise, je n’ai plus de base solide, j’ai besoin de changer de direction, je vis un conflit mental.

Ma cheville ne peut plus me supporter et c’est le corps entier qui cède physiquement. Dans un certain sens, ma vie s’effondre aussi, mais c’est plus l’image qu’il y a quelque chose qui ne va pas qu’un effondrement réel de la personne.


Au sujet de l’entorse, la cheville tordue, c’est l’énergie qui se « tord » dans la

cheville et ma structure de support est déformée. Il n’y a plus rien de clair et défini.

La pression est trop forte et je ne sais plus « à quel saint me vouer».

Je suis restreint dans mes déplacements soit que quelqu’un m’en empêche, ne me donne pas la permission, soit toute autre impossibilité.


J’ai tendance à me fier au jugement des autres plutôt que le mien. Je manque de fermeté. J’ai besoin de me solidifier, de vraiment m’impliquer physiquement et émotionnellement dans mes relations avec les autres.


Quand je suis confronté à quelque chose de très profond, un changement obligatoire pour mon mieux-être, c’est la cassure ou la fracture qui se manifeste.

Je pense que les autres m’empêchent d’avancer mais c’est moi qui ai vraiment à changer de direction. C’est mon honneur, ma sécurité, mon but et ma direction dans la vie qui sont concernés.


Toute affection à la cheville sera habituellement accompagnée d’enflure qui manifeste le trop-plein d’émotions qui me fait stagner au lieu d’avancer avec confiance et détermination.


L’oedème m’indique que le fait de me faire du souci et de toujours ressasser les mêmes idées négatives m’amène à rester sur place.


Si j’ai les chevilles faibles et qui se blessent facilement, je dois me demander : « ai-je une faible capacité à me supporter moi-même et ai-je toujours besoin que quelqu’un ou une institution me prenne en charge ? »


Je « refoule » tellement mes émotions que je risque de me « fouler » une cheville.


Peu importe le malaise, la période d’immobilité qui suit permet à mon corps et à mon être intérieur d’intégrer adéquatement l’aspect de ma vie à changer et permet aussi à la merveilleuse transformation qui s’en vient pour moi de prendre place !

Je prends conscience de la situation ou la relation dans laquelle je me sens enchaîné.

Je dois aussi m’interroger à saVoir : puisque ce malaise à la cheville m’empêche d’accomplir

certaines tâches ou un travail, quel avantage puis-je donc retirer de cette immobilité ?


Si une ou plusieurs de ces situations fait/font sens en vous, n'hésitez pas à prendre contact avec moi pour qu'ensemble nous allions en déloger les mémoires traumatiques conscientes ou non afin de vous permettre de recouvrer votre pouvoir personnel et dépasser votre problématique.

L'évènement présent est un "déclenchant" d'un "programmant" plus ancien.

Nous remonterons votre ligne du temps afin d'aller délivrer cette origine.




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